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[Espagnol]Correction devoir de thème

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[Espagnol]Correction devoir de thème
Message de toinou22 posté le 02-11-2013 à 17:15:21 (S | E | F)
Bonjour, je suis en 3ème année de licence LEA. J'ai fini mon DM de thème, est-ce qu'un natif pourrait m'aider à le corriger pour qu'il soit presque parfait ?

Merci !

Le texte original :

Quand le consommateur chinois s’éveillera…
24/03/2009 - Libération PÉKIN, de notre correspondante PASCALE NIVELLE
«Si j’avais su, je me serais lancé plus tôt sur le marché chinois», dit Lu Tao, un marchand de yaourtières. Exportateur depuis six ans dans 53 pays, «tous les continents sauf l’Afrique», il n’avait pas pensé investir un jour son propre marché. Ce petit industriel pékinois (200 salariés, bientôt 300) a toujours «suivi le gouvernement». Lorsqu’il fallait exporter, Lu Tao exportait. Aujourd’hui, la consigne est de relancer la consommation intérieure, pour maintenir la croissance à 8 %, objectif mis en doute par de nombreux experts. La Banque mondiale notamment vient de revoir à la baisse ses prévisions en Chine pour l’année 2009, et annonce une croissance à 6,5 % en raison de la chute des exportations chinoises. En un an, selon les estimations officielles de Pékin, les carnets de commandes étrangères ont fondu de 25 %.
Le gouvernement chinois incite les exportateurs à changer leur fusil d’épaule, et à cibler le marché intérieur. A Pékin, les grands centres commerciaux de luxe sont réquisitionnés par le département du Commerce pour accueillir de «grandes foires de produits exportés». L’administration s’occupe des stands et de la publicité, les fabricants en mal de commandes se contentant de venir gratuitement y vendre leurs produits au prix de gros. Les consommateurs, eux, se ruent dans les allées de marbre, où, d’ordinaire, ils n’auraient jamais mis les pieds.
Ménagères. Lu Tao, qui n’avait jusque-là exposé ses yaourtières qu’à la grande foire annuelle des produits exportés de Canton, s’est porté volontaire. Il ne le regrette pas. Dès le premier jour, dans le centre commercial de Yangha, l’un des plus anciens et plus célèbres de Pékin, les ménagères de la classe moyenne se sont arraché ses machines. Du coup, Lu Tao participe à la seconde foire organisée dans le nouveau centre Solana. Il empile ses cartons de machines à 98 yuans (un peu plus d’une dizaine d’euros) devant la vitrine d’une boutique de lingerie fine, où des petites culottes sont étiquetées le triple. «Mon usine tourne à fond, on se remet à faire des heures supplémentaires, je vais devoir embaucher 100 personnes», dit Lu Tao. En quinze jours, il a revu sa stratégie : «Le but maintenant, c’est d’ouvrir au moins un emplacement par jour dans les supermarchés chinois». C’est ce qui s’appelle un prompt rétablissement.
Sur les stands voisins, Lu Tao fait des envieux. Même à prix coûtant, les produits destinés à l’exportation restent chers, surtout dans le textile. «Les gens achèteraient, si c’était moins cher encore», estime une cliente, professeure dans une école privée. Madame Shi gagne 5 000 yuans par mois (540 euros) et réduit ses dépenses en temps de crise. Elle est venue au centre commercial Solana pour «voir des produits chinois qu’on ne trouve pas en Chine». Son amie, qui a voyagé, est plus enthousiaste : «En Europe ou aux Etats-Unis, j’ai payé très cher des produits made in China. La crise a du bon.»
Pour vendre, il faut une marque étrangère. Feiyue, fabricant de machines à coudre à 150 euros (une affaire) n’attire pas franchement les foules. «Trop chinois, ma marque», constate-t-il. Les quelques machines vendues sont cependant une compensation. Ses marchés en Europe de l’Est se sont effondrés. Il attend la reprise, sans illusion sur les capacités du marché intérieur. «C’est à l’étranger qu’on fait des affaires», analyse-t-il.
Protection sociale. Malgré les efforts du gouvernement pour relancer la consommation intérieure, beaucoup doutent du succès de la reconversion à l’échelle du pays. Les Chinois consomment volontiers. Ils montrent même un appétit qui a disparu en Occident pour le textile ou le petit électroménager. Mais uniquement après avoir assuré leurs arrières.
De nombreux spécialistes s’accordent à dire que seul un véritable système de sécurité sociale consolidera le pouvoir d’achat des Chinois. Plus des deux tiers de la population vivent sans aucune protection sociale et passent leur vie à épargner, surtout dans les campagnes. «L’an dernier, ma belle-mère et mon beau-père ont tous les deux dû se faire opérer», explique Su Baoshien, fonctionnaire de 43 ans. «Ils n’ont aucune couverture sociale, on a dû payer presque 200 000 yuans [plus de 21 000 euros], avec mon mari. Des années d’économies.» Pour Su, la consommation, ce sera pour «plus tard».


Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de toinou22, postée le 02-11-2013 à 17:16:25 (S | E)
Ma traduction :



Cuando se desperte el consumidor chino
24/03/2009 - Libération PEKIN, de nuestro corresponsal PASCALE NIVELLE
«Si hubiera sabido, hubiera entrado antes en el mercado chino», dice Lu Tao, un vendedor de yogurteras. Exportador desde hace seis años en 53 países, «todos los continentes excepto África», no había pensado en investir un día en su propio mercado. Este pequeño industrial pekinés (200 asalariados, dentro de poco 300) siempre ha « seguido el gobierno ». Cuando había que exportar, Lu Tao exportaba. Hoy, la consigna es reactivar el consumo interior, para mantener el crecimiento al 8 %, numerosos expertos expresan sus dudas acerca de este objetivo. El Banco Mundial, especialmente, acaba de revisar a la baja sus previsiones en China para el año, y anuncia un crecimiento al 6,5% debido a la caída de las exportaciones chinas. En un año, según las estimaciones oficiales de Pekín, las carteras de pedidos extranjeros han reducido de un 25 %.
El gobierno chino incita a los exportadores a variar su posición, y a orientarse al mercado interior. En Pekín, el departamento de Comercio requisa los grandes centros comerciales de lujo para acoger «grandes ferias de productos de exportación». La administración se encarga de los estandes y de la publicidad, y los fabricantes que tienen pocos pedidos se limitan a venir a vender gratis sus productos allí a los precios al por mayor. En cuanto a los consumidores, se precipitan en los pasillos de mármol, donde, generalmente, nunca habrían puesto un pie.
Amas de casa. Lu Tao, que hasta aquel momento soló había expuesto sus yogurteras en la gran feria anual grande de los productos de exportación de Cantón, se ofreció voluntario. No se arrepienta. Desde el primer día, en el centro comercial de Yangha, uno de los más antiguos y más famosos de Pekín, las amas de casa de la clase media se han peleado por sus máquinas. Así que, Lu Tao asiste a la segunda feria organizada en el nuevo centro Solana. Apila sus cartones de máquinas a 98 yuanes (un poco más de unos diez euros) delante del escaparate de una tienda de lencería, donde unas bragas se etiquetan el triple. «Mi fábrica funciona a todo correr, volvemos a trabajar horas extraordinarias, voy a tener que contratar a 100 personas», dice Lu Tao. En quince días, ha revisado su estrategia : «Ahora, el objetivo es abrir al menos una parcela por día en los supermercados chinos». Es lo que llamamos una pronta recuperación.
En los estandes vecinos, Lu Tao crea envidia. Incluso a precio de coste, los productos destinados a la exportacíon permanecen caros, sobre todo en el textil. «La gente compraría, si era aún menos caro», considera una cliente, profesora en una escuela privada. Señora Shi gana 5 000 yuanes al mes (540 euros) y reduce sus gastos en tiempos de crisis. Ha venido al centro comercia Solana para «ver productos chinos que no se ecuentran en China». Su amiga, que ha viajado, está más entusiasta : «En Europa o en los Estados Unidos, pagó un precio muy alto para productos made in China. La crisis puede ser una buena cosa.»
Para vender, hace falta una marca extranjera. Feiyue, fabricante de máquinas de coser a 150 euros (un buen negocio) no atrae francamente a las personas. «Mi marca es demasiada china», constata. Sin embargo, las pocas máquinas que se venden son una compensación. Sus mercados en Europa Oriental se han hundido. Espera la reanudación, sin ilusión en cuanto a la capacidad del mercado interior. «Los negocios se hacen en el extranjero», analiza.
Protección social. A pesar de los ezfuerzos del gobierno para reactivar el consumo interior, muchos dudan del éxito de la reconversión a escala nacional. Los chinos consuman gustosamente. También muestran un apetito que ha desaparecido en Occidente para el textil o pequeños electrodomésticos. Pero únicamente después haber protegido sus espaldas.
Numerosos especialistas están de acuerdo en que solo un verdadero sistema de seguridad social consolidará el poder adquisitivo de los chinos. Más de dos tercios de la población viven sin protección social alguna y pasan su vida ahorrando, sobre todo en las zonas rurales. «El año pasado, mi suegra y mi suegro ambos tuvieron que hacerse operar», explica Su Baoshien, funcionario de 43 años. «Carecen de cobertura social, con mi marido, tuvieron que pagar casi 200 000 yuanes [más de 21 000 euros]. Representa varios años de ahorro.» Para Su, el consumo, será para «más adelante».




Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de soumaia1, postée le 02-11-2013 à 21:14:06 (S | E)
Bonsoir,

Cuando se desperte(erreur) el consumidor chino

acaba de revisar a la baja sus previsiones en China para el año,

en la gran feria anual grande de los productos de exportación de Cantón,

No se arrepienta(erreur).

j’ai payé très cher des produits made in China./En Europa o en los Estados Unidos, pagó un precio muy alto para productos made in China.

A pesar de los ezfuerzos(erreur) del gobierno

Pero únicamente después (préposition) haber protegido sus espaldas.

solo(adv/accent) un verdadero sistema de seguridad social consolidará

Su Baoshien, funcionario(féminin) de 43 años.

Bonne soirée!



Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de toinou22, postée le 03-11-2013 à 16:13:39 (S | E)
Re bonjour

- Cuando se desperte(erreur) el consumidor chino -> J'ai vu qu'en espagnol il faut utiliser le subjonctif avec cuando pour exprimer le futur ?

- No se arrepienta(erreur). -> No lo añora

- Pagó un precio muy alto para productos made in China. -> He pagado

- A pesar de los ezfuerzos(erreur) del gobierno -> Las iniciativas ?

- Pero únicamente después (préposition) haber protegido sus espaldas. -> después de

- solo(adv/accent) un verdadero sistema de seguridad social consolidará -> sólo

- Su Baoshien, funcionario(féminin) de 43 años. -> funcionaria



Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de alienor64, postée le 03-11-2013 à 17:58:51 (S | E)

Bonsoir Toinou22

Un peu plus d'aide!

- Cuando se desperte(erreur) el consumidor chino -> J'ai vu qu'en espagnol il faut utiliser le subjonctif avec cuando pour exprimer le futur ?( verbe " despertarse" : verbe à diphtongue)

- No se arrepienta(erreur). -> No lo añora(verbe "arrepentirse ")

- Pagó un precio muy alto para productos made in China. -> He pagado(1ère personne singulier du prétérit ; vous avez conjugué " pagar" à la 3ème personne)

- A pesar de los ezfuerzos(erreur) del gobierno -> Las iniciativas ?( orthographe)

- Pero únicamente después (préposition) haber protegido sus espaldas. -> después de Oui!

- solo(adv/accent) un verdadero sistema de seguridad social consolidará -> sólo Oui, si c'est un adverbe et non un adjectif .

- Su Baoshien, funcionario(féminin) de 43 años. -> funcionaria Oui !

Bonne soirée !



Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de galizano, postée le 03-11-2013 à 18:30:39 (S | E)
Bonsoir

solo(adv/accent) un verdadero sistema de seguridad social consolidará -> sólo. La nouvelle règle émise par la RAE (décriée par certains linguistes), permet, entre autres règles, l'absence du "tilde".( règle non obligatoire, cependant)

" No se tildará el adverbio 'solo' ni los pronombres demostrativos 'este', 'ese' y 'aquel'"

Lien internet


Cependant ......


Lien internet


Quelques corrections ou améliorations; à toi de juger car je ne suis pas un natif.

Cuando se desperte el consumidor chino
24/03/2009 - Libération PEKIN, de nuestro corresponsal PASCALE NIVELLE
«Si hubiera sabido, hubiera entrado antes en el mercado chino»,(je préfèrerais quelque chose de plus simple comme : de saberlo, me habría lanzado al mercado más temprano) dice Lu Tao, un vendedor de yogurteras. Exportador desde hace seis años en 53 países, «todos los continentes excepto África», no había pensado en investir(invertir) un día en su propio mercado. Este pequeño industrial pekinés (200 asalariados, dentro de poco 300) siempre ha « seguido el gobierno ». Cuando había que exportar, Lu Tao exportaba. Hoy, la consigna es reactivar el consumo interior para mantener el crecimiento al(en el) 8 %. Numerosos expertos expresan sus dudas acerca de este objetivo. El Banco Mundial, especialmente, acaba de revisar a la baja sus previsiones en China para el año, y anuncia un crecimiento al(del) 6,5% debido a la caída de las exportaciones chinas. En un año, según las estimaciones oficiales de Pekín, las carteras de pedidos extranjeros han reducido de un 25 %.
El gobierno chino incita a los exportadores a variar su posición(volver casaca), y a orientarse al mercado interior. En Pekín, el departamento de Comercio requisa los grandes centros comerciales de lujo para acoger «grandes ferias de productos de exportación». La administración se encarga de los estandes y de la publicidad, y los fabricantes que tienen pocos pedidos se limitan a venir a vender gratis sus productos allí a los precios al por mayor. En cuanto a los consumidores, se precipitan en los pasillos de mármol, donde, generalmente, nunca (los) habrían puesto un pie(pisado).
Amas de casa.
Lu Tao, que hasta aquel momento sólo había expuesto sus yogurteras en la gran feria anual de los productos de exportación de Cantón, se ofreció voluntario. No se arrepienta(e). Desde el primer día, en el centro comercial de Yangha, uno de los más antiguos y más famosos de Pekín, las amas de casa de la clase media se han peleado por sus máquinas. Así que(de resultas, a causa de eso), Lu Tao asiste a la segunda feria organizada en el nuevo centro Solana. Apila sus cartones de máquinas a 98 yuanes (un poco más de unos diez euros) delante del escaparate de una tienda de lencería, donde unas bragas se etiquetan el triple. «Mi fábrica funciona a todo correr, volvemos a trabajar horas extraordinarias, voy a tener que contratar a 100 personas», dice Lu Tao. En quince días, ha revisado su estrategia : «Ahora, el objetivo es abrir al menos una parcela(un emplazamiento) por día en los supermercados chinos». Es lo que llamamos una pronta recuperación.
En los estandes vecinos, Lu Tao crea(da) envidia. Incluso a precio de coste, los productos destinados a la exportacíon permanecen caros, sobre todo en el textil. «La gente compraría, si era(fuera) aún menos caro», considera una cliente, profesora en una escuela privada. Señora Shi gana 5 000 yuanes al mes (540 euros) y reduce sus gastos en tiempos de crisis. Ha venido al centro comercial Solana para «ver productos chinos que no se encuentran en China». Su amiga, que ha viajado, está más entusiasta : «En Europa o en los Estados Unidos, (pagué) un precio muy alto para productos "made in China". La crisis puede ser una buena cosa.»
Para vender, hace falta una marca extranjera. Feiyue, fabricante de máquinas de coser a 150 euros (un buen negocio(una ganga)) no atrae francamente a las personas. «Mi marca es demasiada china», constata. Sin embargo, las pocas máquinas que se venden son una compensación. Sus mercados en Europa Oriental se han hundido. Espera la reanudación(recuperación), sin ilusión en cuanto a la capacidad del mercado interior. «Los negocios se hacen en el extranjero», analiza.
Protección social.
A pesar de los ez(s)fuerzos del gobierno para reactivar el consumo interior, muchos dudan del éxito de la reconversión a escala nacional. Los chinos consuman gustosamente. También muestran un apetito que ha desaparecido en Occidente para(por) el textil o pequeños electrodomésticos. Pero únicamente después de haber protegido(cubierto) sus espaldas.
Numerosos especialistas están de acuerdo en que sólo un verdadero sistema de seguridad social consolidará el poder adquisitivo de los chinos. Más de dos tercios de la población viven sin protección social alguna y pasan su vida ahorrando, sobre todo en las zonas rurales. «El año pasado, mi suegra y mi suegro ambos(bien traduit mais redondant) tuvieron que hacerse operar», explica Su Baoshien, funcionario de 43 años. «Carecen de cobertura social, con mi marido, tuvieron que pagar casi 200 000 yuanes [más de 21 000 euros]. Representa varios años de ahorro.» Para Su, el consumo, será para «más adelante».










Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de sigmarie, postée le 03-11-2013 à 20:09:52 (S | E)


Bonsoir!

Alors, on devrait mettre l'accent "diacrítico" pour différencier les mots homónimos. surtout quand il est un adjectif démonstratif et il n'est pas clairement spécifié le sujet.

¡Buenas noches!



Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de toinou22, postée le 04-11-2013 à 21:51:41 (S | E)
Bonsoir, merci beaucoup pour toutes vos corrections. J'en ai bien pris notes et j'ai corrigé en conséquence.

- Petite questions, pour la correction de "era" en "fuera" c'est pour la concordance des temps ?
- Si je mets "ambos" juste devant mi suegro y mi suegra c'est bon ? Ça me parait moins redondant.

Ps: j'ai cru bon de garder "variar su posición" et "protegido sus espaldas"



Réponse: [Espagnol]Correction devoir de thème de galizano, postée le 04-11-2013 à 22:31:30 (S | E)
Bonsoir

-Petite question, pour la correction de "era" en "fuera": c'est pour la concordance des temps ? Oui.
La gente compraría, si era(fuera) aún menos caro = Si fuera aún menos caro, la gente compraría.(Si c'était encore moins cher, les gens achèteraient)
-Si je mets "ambos" juste devant mi suegro y mi suegra, c'est bon ? Ça me parait moins redondant". Tu peux garder ambos, mais en mettant une virgule après "mi suegra y mi suegro",soit : mi suegra y mi suegro, ambos, tuvieron que.... Il n'en reste pas moins vrai que je trouve ce "tous les deux" redondant-j'y vois même un pléonasme- dans le texte en français, dès lors qu'on précise bien que c'est la suegra et le suegro qui ont été opérés.

De plus, j'ai oublié de corriger ceci : Carecen de cobertura social; con mi marido, tuvieron (tuvimos que) (on a dû) pagar casi 200 000 yuanes [más de 21 000 euros].
C'est Su Baoshien et son mari qui ont dû faire face aux frais, et non les beaux-parents.


Voir cours sur la condition.

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