Traduction de texte espagnol
Cours gratuits > Forum > Forum espagnol || En basMessage de ded4239 posté le 16-11-2019 à 12:49:25 (S | E | F)
Bonjour,
La phrase soulignée, en particulier me pose problème. Merci pour votre aide.
Durante aquellos primeros días, todos aparentaban normalidad, presos y guardias, como viajeros sorprendidos por una avería en la cuesta de la vida y a la espera de que un oportuno golpe de manivela propulsara de nuevo el motor y se reanudase el viaje. Incluso el director permitía la visita de los familiares, y que les llevasen la comida hecha de casa. Y ellos, los detenidos,hacían tertulia durante las horas del patio con aparente despreocupación, sentados en el suelo y acostados en los muros, con la jovialidad con que algunos lo hacían tan sólo unos días antes,en sus repectivas sillas, en torno a los valadores con tacitas humeantes, en el Café Español, con las paredes decoradas por los murales del pintor. O como los obreros en la pausa del trabajo, después de la reverencia irónica de la visera al patrón sol y de escupir para sellar la zanja, yendo a buscar una sombra de agua y pan para echar unas risas de sobremesa. Detenidos en traje o camiseta, la larga espera, el polvo del calendario, los iban igualando a todos en el patio, como hace el sepia en un retrato de grupo. Parecemos segadores. Parecemos vagabundos. Parecemos gitanos. No, dijo el pintor, parecemos presos. Estamos empezando a coger color de presos.
Pendant ces premiers jours, tous feignaient la normalité, prisonniers et gardes, comme des voyageurs surpris par une panne dans la pente de la vie et dans l'attente qu'un opportun coup de manivelle relance le moteur et que le voyage reprenne. Même le directeur permettait la visite des proches, et qu'ils leurs apportent de la nourriture faite à la maison. Et eux, les détenus, tenaient une réunion amicale pendant les heures de promenade avec une apparente insouciance, assis sur le sol et appuyés contre les murs, avec la jovialité avec laquelle ils le faisaient seulement des jours auparavant, sur leurs propres chaises, à côté des surveillants avec des tasses fumantes, dans le Café Espagnol, aux murs décorés par les fresques du peintre. Comme les ouvriers à la pause du travail, après l'ironique révérence de la visière au patron soleil et cracher pour celler la tranchée, en allant chercher une ombre d'eau et du pain pour rire après le repas. Détenus en costume ou en maillot, la longue attente, la poussière du calendrier, allaient les mettre tous au même niveau dans la cour, comme le fait le sépia dans un portrait de groupe. Nous ressemblons à des moissonneurs. Nous ressemblons à des vagabonds. Nous ressemblons à des gitans. Non, dit le peintre, nous ressemblons à des prisonniers. Nous commençons à prendre la couleur des prisonniers.
Réponse : Traduction de texte espagnol de dannrioja, postée le 16-11-2019 à 13:19:50 (S | E)
Durante aquellos primeros días, todos aparentaban normalidad, presos y guardias, como viajeros sorprendidos por una avería en la cuesta de la vida y a la espera de que un oportuno golpe de manivela propulsara de nuevo el motor y se reanudase el viaje. Incluso el director permitía la visita de los familiares, y que les llevasen la comida hecha de casa. Y ellos, los detenidos,hacían tertulia durante las horas del patio con aparente despreocupación, sentados en el suelo y acostados apoyadosen los muros, con la jovialidad con que algunos lo hacían tan sólo unos días antes,en sus repectivas sillas, en torno a los valadores orthographecon tacitas humeantes, en el Café Español, con las paredes decoradas por los murales del pintor creo que sería más natural poner sólo "decoradas por murales". O como los obreros en la pausa del trabajo, después de la reverencia irónica de la visera no es fácil de traducir; yo utilizaría una versión libre: "tras la reverencia irónica con un toque de viseraal patrón sol y de escupir para sellar la zanja, yendo a buscar una sombra creo que aquí se refiere a "un poco"; una sombra en este contexto no tiene mucho sentidode agua y pan para echar unas risas de sobremesa. Detenidos en traje o camiseta, la larga espera, el polvo del calendario, los iban igualando a todos en el patio, como hace el sepia en un retrato de grupo. Parecemos segadores. Parecemos vagabundos. Parecemos gitanos. No, dijo el pintor, parecemos presos. Estamos empezando a coger color de presos.
À bientôt.
Réponse : Traduction de texte espagnol de frasquito, postée le 16-11-2019 à 13:41:26 (S | E)
Pendant ces premiers jours, tous feignaient la normalité, prisonniers et gardes, comme des voyageurs surpris par une panne dans la pente (le cours) de la vie et dans l'attente qu'un opportun coup de manivelle relance le moteur et que le voyage reprenne. Même le directeur permettait la visite des proches, et qu'ils leurs apportent de la nourriture faite à la maison. Et eux, les détenus, tenaient une réunion amicale (faisaient la causette) pendant les heures de promenade avec une apparente insouciance, assis sur le sol et appuyés contre les murs, avec la (la même)jovialité qu'ils le faisaient seulement quelques jours auparavant, sur leurs propres chaises, à côté des surveillants avec des tasses fumantes, dans le Café Espagnol, aux murs décorés par les fresques du peintre. Ou bien comme les ouvriers (durant) la pause, après l'ironique révérence de la visière au patron soleil et le crachat (avant de) refermer la tranchée, en allant chercher (un peu d'eau) et de pain pour rire (un peu) lors des (conversations) d'après repas. Détenus en costume ou en maillot, la longue attente, la poussière du calendrier, allaient les mettre tous au même niveau dans la cour, comme le fait le sépia dans un portrait de groupe. Nous ressemblons à des moissonneurs. Nous ressemblons à des vagabonds. Nous ressemblons à des gitans. Non, dit le peintre, nous ressemblons à des prisonniers. Nous commençons à prendre la couleur des prisonniers.
Réponse : Traduction de texte espagnol de andre40, postée le 16-11-2019 à 14:17:25 (S | E)
Bonjour ded4239.
Durante aquellos primeros días, todos aparentaban normalidad, presos y guardias, como viajeros sorprendidos por una avería en la cuesta de la vida y a la espera de que un oportuno golpe de manivela propulsara de nuevo el motor y se reanudase el viaje. Incluso el director permitía la visita de los familiares, y que les llevasen la comida hecha de casa. Y ellos, los detenidos,hacían tertulia durante las horas del patio con aparente despreocupación, sentados en el suelo y acostados erreur en los muros, con la jovialidad con que algunos lo hacían tan sólo unos días antes,en sus repectivas sillas, en torno a los valadores erreur con tacitas humeantes, en el Café Español, con las paredes decoradas por los murales del pintor. O como los obreros en la pausa del trabajo, después de la reverencia irónica de la visera al patrón sol y de escupir para sellar la zanja, yendo a buscar una sombra de agua y pan para echar unas risas de sobremesa. Detenidos en traje o camiseta, la larga espera, el polvo del calendario, los iban igualando a todos en el patio, como hace el erreur sepia en un retrato de grupo. Parecemos segadores. Parecemos vagabundos. Parecemos gitanos. No, dijo el pintor, parecemos presos. Estamos empezando a coger color de presos.
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Pendant ces premiers jours, tous feignaient la normalité, prisonniers et gardes, comme des voyageurs surpris par une panne erreur dans la pente erreur de la vie et dans l'attente qu'un opportun coup de manivelle relance le moteur et que le voyage reprenne. Même le directeur permettait la visite des proches, et qu'ils leurs apportent de la nourriture faite à la maison. Et eux, les détenus, tenaient une réunion amicale pendant les heures de promenade avec une apparente insouciance, assis sur le sol et appuyés contre les murs, avec la jovialité avec laquelle ils traduire "algunos" le faisaient seulement des jours auparavant, sur leurs propres chaises, à côté des surveillants avec des tasses fumantes, dans le Café Espagnol, aux murs décorés par les fresques du peintre. Comme revoir la traduction de "o como" les ouvriers à la pause du travail à refaire, après l'ironique révérence de la visière au patron soleil et cracher pour celler erreur la tranchée, en allant chercher une ombre d'eau erreur et du pain pour rire après le repas. Détenus en costume ou en maillot, la longue attente, la poussière du calendrier, allaient les mettre tous au même niveau dans la cour, comme le fait le sépia dans un portrait de groupe. Nous ressemblons à des moissonneurs. Nous ressemblons à des vagabonds. Nous ressemblons à des gitans. Non, dit le peintre, nous ressemblons à des prisonniers. Nous commençons à prendre la couleur des prisonniers.
Corrigez et repostez s'il vous plaît.
Réponse : Traduction de texte espagnol de leserin, postée le 16-11-2019 à 19:34:45 (S | E)
Bonsoir.
Quelques notes :
... en sus repectivas respectivas sillas, en torno a los
....................
a) ... sur leurs propres chaises, à côté des surveillants avec des tasses fumantes, dans le Café Espagnol, aux murs décorés par les fresques du peintre.
b) ... après l'ironique révérence de la visière au patron soleil et ... , en allant chercher une ombre d'eau et du pain (2) pour rire après le repas.
c) ... comme le fait le sépia au féminin dans un portrait de groupe.
1. Veladores : les petites tables rondes, utilisées généralement dans les bars et les caféteries.
2. ... buscar una sombra de agua y pan : les ouvriers cherchent un lieu où pouvoir être à leur aise, à l'abri du soleil, pour boire de l'eau et manger du pain.
Cordialement.
Réponse : Traduction de texte espagnol de ded4239, postée le 18-11-2019 à 15:16:12 (S | E)
Durante aquellos primeros días, todos aparentaban normalidad, presos y guardias, como viajeros sorprendidos por una avería en la cuesta de la vida y a la espera de que un oportuno golpa de manivela propulsara de nuevo el motor y se reanudase el viaje. Incluso el director permitía la visita de los familiares, y que les llevasen la comida hecha de casa. Y ellos, los detenidos,hacían tertulia durante las horas del patio con aparente despreocupación, sentados en el suelo y recostados en los muros, con la jovialidad con que algunos lo hacían tan sólo unos días antes,en sus respectivas sillas, en torno a los veladores con tacitas humeantes, en el Café Español, con las paredes decoradas por los murales del pintor. O como los obreros en la pausa del trabajo, después de la reverencia irónica de la visera al patrón sol y de escupir para sellar la zanja, yendo a buscar una sombra de agua y pan para echar unas risas de sobremesa. Detenidos en traje o camiseta, la larga espera, el polvo del calendario, los iban igualando a todos en el patio, como hace el sepia en un retrato de grupo. Parecemos segadores. Parecemos vagabundos. Parecemos gitanos. No, dijo el pintor, parecemos presos. Estamos empezando a coger color de presos.
Pendant ces premiers jours, tous feignaient la normalité, prisonniers et gardes, comme des voyageurs surpris par une avarie dans le cours de la vie et dans l'attente qu'un opportun coup de manivelle relance le moteur et que le voyage reprenne. Même le directeur permettait la visite des proches, et qu'ils leurs apportent de la nourriture faite à la maison. Et eux, les détenus, tenaient une réunion amicale pendant les heures de promenade avec une apparente insouciance, assis sur le sol et appuyés contre les murs, avec la jovialité dont certains faisaient preuve seulement quelques jours auparavant, sur leurs propres chaises, à côté des surveillants avec des tasses fumantes, dans le Café Espagnol, aux murs décorés par les fresques du peintre. Ou comme les ouvriers pendant la pause, après l'ironique révérence de la visière au patron soleil et le crachat pour refermer la tranchée, en allant chercher une ombre de l'eau et du pain pour rire après le repas. Détenus en costume ou en maillot, la longue attente, la poussière du calendrier, allaient les mettre tous au même niveau dans la cour, comme le fait le sépia(*) dans un portrait de groupe. Nous ressemblons à des moissonneurs. Nous ressemblons à des vagabonds. Nous ressemblons à des gitans. Non, dit le peintre, nous ressemblons à des prisonniers. Nous commençons à prendre la couleur des prisonniers.
(*) Color
Réponse : Traduction de texte espagnol de leserin, postée le 19-11-2019 à 15:06:10 (S | E)
Bonjour.
Durante aquellos primeros días, todos aparentaban normalidad, presos y guardias, como viajeros sorprendidos por una avería en la cuesta de la vida y a la espera de que un oportuno golpa golpe de manivela propulsara de nuevo el motor y se reanudase el viaje. Incluso el director permitía la visita de los familiares, y que les llevasen la comida hecha de casa. Y ellos, los detenidos, hacían tertulia durante las horas del patio con aparente despreocupación, sentados en el suelo y recostados en los muros, con la jovialidad con que algunos lo hacían tan sólo unos días antes, en sus respectivas sillas, en torno a los veladores con tacitas humeantes, en el Café Español, con las paredes decoradas por los murales del pintor. O como los obreros en la pausa del trabajo, después de la reverencia irónica de la visera al patrón sol y de escupir para sellar la zanja, yendo a buscar una sombra de agua y pan para echar unas risas de sobremesa. Detenidos en traje o camiseta, la larga espera, el polvo del calendario, los iban igualando a todos en el patio, como hace el sepia en un retrato de grupo. Parecemos segadores. Parecemos vagabundos. Parecemos gitanos. No, dijo el pintor, parecemos presos. Estamos empezando a coger color de presos.
Pendant ces premiers jours, tous feignaient la normalité, prisonniers et gardes, comme des voyageurs surpris par une avarie dans le cours de la vie et dans l'attente qu'un opportun coup de manivelle relance le moteur et que le voyage reprenne. Même le directeur permettait la visite des proches, et qu'ils leurs apportent de la nourriture faite à la maison. Et eux, les détenus, tenaient une réunion amicale pendant les heures de promenade avec une apparente insouciance, assis sur le sol et appuyés contre les murs, avec la jovialité dont certains faisaient preuve seulement quelques jours auparavant, sur leurs propres chaises, à côté des surveillants(1) déjà dit avec des tasses fumantes, dans le Café Espagnol, aux murs décorés par les fresques du peintre. Ou comme les ouvriers pendant la pause, après l'ironique révérence de la visière au patron soleil et le crachat pour refermer la tranchée, en allant chercher une ombre de l'eau et du pain pour rire après le repas. Détenus en costume ou en maillot, la longue attente, la poussière du calendrier, allaient les mettre tous au même niveau dans la cour, comme le fait le sépia dans un portrait de groupe. Nous ressemblons à des moissonneurs. Nous ressemblons à des vagabonds. Nous ressemblons à des gitans. Non, dit le peintre, nous ressemblons à des prisonniers. Nous commençons à prendre la couleur des prisonniers.
1. Veladores : les petites tables rondes, utilisées généralement dans les bars et les caféteries.
Vous avez écrit "des surveillants", c'est-à-dire, des personnes qui surveillent, et ce n'est pas le cas. D'accord avec la couleur, le sépia. Pour le reste, "en orden" ! Bonne chance !
Cordialement.
Réponse : Traduction de texte espagnol de andre40, postée le 19-11-2019 à 15:22:19 (S | E)
Ou comme les ouvriers pendant la pause, après l'ironique révérence de la visière au patron soleil et le crachat cracher(dans leurs mains, c'est habituel pour des manuels travaillant avec un pelle)pour refermer la tranchée, en allant chercher une ombre virgule de l'eau et du pain virgule pour rire après le repas.
Bonne continuation.
Réponse : Traduction de texte espagnol de ded4239, postée le 20-11-2019 à 10:30:31 (S | E)
Effectivement je traduirai "veladores" par "guéridons". Dans le contexte du livre, "El lápiz del carpintero", "gardiens" m'avait semblé un peu trop vite évident.
Merci à tous pour votre aide.
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